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Revue de presse du hors-série Henri Salvador

Ses débuts discographiques remontent à 1942. Calculez ! Cela fait déjà plus de 62 ans de carrière pour Monsieur Salvador. De quoi alimenter un superbe numéro hors-série de JE CHANTE ! en biographie, entretiens exclusifs, témoignages, filmographie, discographie complète (24 pages bien « tassées », excusez du peu !)... Le tout agrémenté de nombreuses photos, rares pour certaines, pochettes de disques, affiches de spectacles. Au fil des pages, toute une vie d’artiste se construit, traversée par le sourire et les incroyables mimiques de « Monsieur Henri ». Ses légendaires éclats de rire retentissent. « Qu’est-ce que vous voulez, ce n’est pas de ma faute, je suis multiple ! Je ne peux pas me refaire ! » Voici donc près de 120 pages pour découvrir les nombreuses facettes du personnages.

Evelyne Lagier

Chant’Essonne, octobre 2004

 

 

Certes, son rire inextinguible peut en exaspérer certains, mais force est de reconnaître que, malgré de nombreux détours, sa carrière est exemplaire. Ce second hors-série de JE CHANTE ! en apporte la preuve tout au long de ses 92 pages augmentées d’une fabuleuse discographie exhaustive de 24 pages. Le travail de Raoul Bellaïche et de son équipe mérite d’être salué chapeau bas et pourrait, à juste titre, faire l’objet d’un livre tant la recherche journalistique et iconographique est plus que remarquable.

Depuis son enfance à Cayenne, l’histoire remonte lentement le temps avec des tas de témoignages : Ray Ventura et ses Collégiens ; Sacha Distel ; Salvador sur scène ; sa femme Jacqueline (décédée en 1976) ; Boris Vian ; les années Fontana/Philips et Barclay... On arrive ensuite dans les années 60 avec les labels Salvador et Rigolo, partagées entre le côté crooner de Syracuse et celui amusant de Zorro est arrivé. Tout cela génère d’incroyables émissions télévisées avec Maritie et Gilbert Carpentier. On trouve encore une interview exclusive, les révélations de ses chers paroliers (Maurice Pon, Bernard Michel...), son parcours au cinéma, etc., jusqu’à son dernier CD, « Ma chère et tendre », après le carton de « Chambre avec vue » en 2000.

Le dilettante Henri Salvador, fameux joueur de boules, est en fait un forcené du travail. Il est vrai qu’il a chanté, fin 1965, Le travail c’est la santé. Une maxime qui lui réussit plutôt bien comme en atteste le fascinant inventaire qui est ici dressé, avec passion, sur une œuvre incommensurable. De Le loup, la biche et le chevalier (plus connu comme Une chanson douce) à Jardin d’hiver, en passant par Twist SNCF, Henri Salvador a touché à tout. Toujours avec talent. Je Chante ! le célèbre ici. Avec talent.

Jacques Leblanc

Jukebox Magazine, novembre 2004

 

 

Henri Salvador raconté par le détail dans un hors-série du magazine JE CHANTE !. Cette biographie enrichie de nombreux témoignages se termine par un répertoire de sa discographie. Ses enregistrements sont tellement nombreux qu’elle occupe 24 pages.

Jacques Pessis

Le Figaro, décembre 2004

 

 

Je n'aurai que ces quelques mots : Magnifique, Fabuleux,  Extraordinaire, Bravo !!!

C'est une mine d'informations. Un travail de recherche approfondi au maximum, biographie, entretien exclusif, témoignages, photos rares, discographie, filmographie, etc.

Ce magazine n'est disponible que par correspondance et je ne peux que vous conseiller de l'acheter. 

Site duchaine.club.fr

 

 

Après un hors-série consacré à Charles Aznavour, Raoul Bellaïche nous propose de retrouver aujourd’hui Henri Salvador dans un luxueux ouvrage, abondamment illustré de documents souvent très rares, voire totalement inédits. Comme toujours, la présentation soignée, méthodique, aérée, favorise une approche agréable du long parcours artistique d’Henri Salvador débuté en 1935 dans un trio de jazz.

Émaillé de nombreux témoignages et enrichi d’un entretien où Henri Salvador aborde les multiples facettes de sa carrière d’artiste mais aussi de producteur (Tiny Yong, Jacky Moulière, Audrey...), c’est avec un réel bonheur que l’on dévore cet ouvrage captivant qui nous permet d’appréhender l’univers salvadorien. Un univers riche, jalonné d’un succès décidément intemporel face à des registres où la veine parodique le dispute à une féconde inspiration.

Club des Années 60, avril 2005

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